Des centaines de personnes qui sont bloquées dans des emplois temporaires travaillent à chaque émission, dans chaque équipe et sur chaque plateforme de CBC/Radio-Canada.
Cela peut durer des années. En fait, la situation s’aggrave à mesure que la Société remplace le travail permanent par des embauches temporaires.
Le syndicat se bat pour mettre un terme à cette situation et pour sensibiliser tout le monde aux défis auxquels sont confrontés jusqu’à 1 000 de nos collègues pris dans des emplois précaires à long terme.
Veuillez participer à un appel ZOOM pour honorer leur engagement envers le travail que nous faisons à CBC/Radio-Canada avec un prix pour longs états de service.
Quand : Demain, mercredi 29 juin à 19 h (HE)
Les coordonnées Zoom vous ont été envoyées par courriel.
Cliquez ici pour en savoir plus sur le Prix et Cliquez ici pour lire l’histoire des lauréat-e-s de cette année.
Il s’agit du premier événement parmi plusieurs que le syndicat organisera pour attirer l’attention sur cette question.
« Ces récipiendaires représentent les nombreux travailleurs et travailleuses temporaires dont la Société a refusé de reconnaître les longs états de service comme elle le fait avec les employés permanents. Nous pensons que c’est une erreur. Nous tenions donc à partager notre appréciation pour tout ce qu’ils font chaque jour mais dans des conditions précaires. »
Kim Trynacity, présidente de la sous-section CBC/Radio-Canada
« Il y a actuellement jusqu’à 1 000 travailleuses et travailleurs temporaires, qui travaillent 100 000 heures par mois à CBC (à Radio-Canada au Québec, c’est plus de 1 100 travailleuses et travailleurs temporaires travaillant en moyenne 83,000 heures par mois). Il est donc évident qu’il y a du travail permanent. Pourquoi le diffuseur public, un chef de file dans le secteur des médias, créerait-il un système à deux vitesses où tant de gens sont traités injustement. Travaillons ensemble pour régler ce problème. »
Carmel Smyth, présidente de la Guilde